Bonsoir élève soumis,

Je note positivement tes premiers progrès marqués par le respect des délais. Je prends bonne note de ta période de congés.

Il se peut donc que tu mérites d'être initié, dressé...mais ce ne sont encore que quelques signes discrets d'obéissance et de dévotion à ton Maître qui se doivent d'être amplement et profondément confirmés. Il est normal pour un soumis de satisfaire pleinement son Maître et de faire en sorte de se montrer digne du temps qu'il daigne lui accorder, je n'attends donc rien moins de toi que tu fasses en sorte de ne point me décevoir.

L'utilisation de la cravache, du martinet sont un art, instruments dont il est loisible de tirer la quintessence lorsqu'on les manie avec dextérité...la gamme des effets obtenus est vaste...de la stimulation liée à un effleurement en passant par la surprise d'un coup arrêté au dernier instant, jusqu'à la douleur intense...tu auras amplement l'opportunité d'en connaître les vertus et effets.

Ton éducation et ta formation t'amèneront à repousser toujours plus loin tes limites, à te surpasser progressivement. Peut être seras tu digne, au bout de quelques temps, de recevoir le collier auquel tu aspire.

Ta petite bite de vicieux se dresse donc à l'évocation des tes futures douleurs et humiliations, de ton utilisation en tant qu'objet, au point de t'astiquer comme un chien pervers...En aurais tu quémandé l'autorisation ou obtenu l'ordre ? Puisque, larve lubrique, ta bite te démange de la sorte, tu l'astiqueras désormais après chaque lecture, la queue bien sortie, en te doigtant simultanément le cul avec application.

Tu te devras de t'imaginer en scène avec ton Maître. La propreté de mon esclave étant exigée, je t'impose de gicler dans ta main placée en calice contre ton gland gonflé. Tu lècheras ensuite le fruit de ta lubricité de façon à ce qu'il ne reste pas la moindre goutte de foutre. Que la moindre parcelle ne vienne à souiller le sol et tu devras de langue bien sortie, sans délai, l'en ôter Tu me relateras ensuite en détail et crûment par écrit la situation imaginée et me rendras compte de la bonne exécution de tes ordres.

Il m'agrée que ton esprit m'appartienne dores et déjà et que ton corps soit entièrement dédié à mon usage. Il est clair qu'une protection ad hoc sera utilement employée en fonction des pratiques envisagées. Tes divers orifices ont ils déjà constitué un réceptacle pour soulager quelques queues ou pour être limés par des accessoires ? Si tel est le cas, je souhaite que tu me détailles les usages et pratiques mises en oeuvre.

Je ne doute pas que l'idée d'être enfilé comme une vulgaire chienne en chaleur, de servir de vide couilles au service de ton Maître génère à nouveau quelques réactions physiques chez mon soumis...

Tes moments de disponibilités sont susceptibles de m'agréer. Je t'indiquerai, te dicterai le jour et l'heure de tes mises à disposition, de tes séances, soumis. Compte tenu de l'échéance proche de ton départ en vacances, il semble peu probable de planifier notre première rencontre avant début septembre. Pour cette séance initiale, tu prendras une chambre d'hôtel (je présume que tu ne peux recevoir, dans le cas contraire, précise le). Tu y prendras ta douche. Après m'avoir communiqué le n° et code d'accès de la chambre, tu y attendras, nu, à quatre pattes, cuisses amplement écartées, épaules contre le lit, tête placée à l'opposé de la porte.

Dès que je serai entré, tu énonceras clairement :"

• Maître, je suis votre esclave, votre objet de plaisir.
• Je n'existe que pour vous satisfaire, vous servir, vous obéir sans limites.
• Mon corps et mon esprit vous appartiennent intégralement, usez en et abusez en selon votre bon vouloir.
• Ordonnez et j'obéirai sans délai.
• Punissez-moi sans retenue si je faillis ou pour votre plaisir".

Mémorise parfaitement la présentation que tu dois énoncer. J'en exige la connaissance exacte et la déclamation convaincante et sincère. Elle sera, aux moments édictés, exigée de toi.

Je constate, à la lecture de la fin de ton message, que mon chien est inapte à monter sa femelle en rut...juste capable, tel un porc en chaleur, de bander en la regardant se faire limer...Elle semble pourtant, sous la perception que tu en as, être une parfaite salope qui sommeille, insatisfaite par un ersatz ... Peut être, ultérieurement, sera t'il possible de l'associer à ton dressage.

Tu auras alors l'immense honneur de préparer sa moule et son cul pendant qu'elle pompera avec délectation la bite de ton Maître. Tu prendras son relais pendant que, la doigtant et la godant, je vérifierai la qualité de ton travail. Si je suis satisfait, tu auras l'honneur de l'ouvrir pour présenter ses orifices et guider la queue de ton Maître dans celui qu'il aura choisi. Tu pourras ensuite, à quatre pattes, admirer un vrai mâle la faire juter, se faire prendre dans toutes les positions et par tous les trous, l'entendre gémir de plaisir, constater la révélation de son assuétude à la bite, à la jouissance, l'éclosion de la salope qui sommeillait en elle de longue date...

Peut être t'autoriserais je après l'avoir copieusement remplie de foutre à plusieurs reprises, de la nettoyer soigneusement de ta langue et de te délecter du foutre de ton Maître.

Si te dominer ne la stimule pas, en revanche, il est très hautement probable qu'une intense excitation l'envahirait à se soumettre à la volonté d'un mâle viril et endurant, voir à se soumettre. C'est une constante chez une cochonne trop longtemps refoulée, anesthésiée par une sexualité limitée et terne, enfermée dans le carcan des convenances et de la bienseillance.

Ayant accepté que tu tente de me démontrer que tu es digne de me servir et de m'obéir, de t'initier, t'éduquer, te dresser, il est clair que désormais tu es ma propriété exclusive.

Il est donc évidemment hors de question, que tu sois utilisé ou sollicité de quelque façon que ce soit par un amant de ta femme sauf ordre explicite et précis de ma part. Il est encore plus exclu que tu sois l'objet, même temporaire d'un autre Maître sauf ordre de ma part.

Satisfait de tes premiers progrès, je t'autorise à formuler deux questions dans ton prochain message.

A te lire sous peu, je te souhaite, soumis en devenir, une excellente soirée

Maître E

Bonjour Maître E

Comme vous le savez Maître je suis béotien dans la soumission, mis à part quelques tentatives peu convaincantes, j'ai quelques craintes et appréhension . Je vous fais entièrement confiance mais j'ai peur que votre domination soit trop forte pour un début. Rassurez-moi Maître.. Serais-je digne de vous ? J'aimerais ne pas vous décevoir ... Mais la crainte est ancrée au plus profond de moi.. La façon dont vous décrivez le maniement de la cravache et du martinet me montre que vous avez l'expérience de la domination. Cela me rassure un peu.. et je suppose que les coups que je recevrai seront d'une intensité progressive.. Mais au plus profond de moi il y a conflit entre l'envie d'être soumis, d'être dominé et l'envie de fuir de me dérober par crainte de l'inconnu, par crainte du Maître, cette personne à qui je vais confier mon corps, à qui je vais me livrer pieds et poings liés..... par crainte d'un dérapage ...

Je vous remercie de m'autoriser à me branler chaque fois que je vous lis... Ma bite est raide.. je me branle pour vous Maître... je suis honteux ..mais vous me l'avez ordonné..

« Puisque, larve lubrique, ta bite te démange de la sorte, tu l'astiqueras désormais après chaque lecture, la queue bien sortie, en te doigtant simultanément le cul avec application »

Ma main vient de recueillir le fruit de ma jouissance ... J'imagine que vous me regarder... et que vous me dites : « Lèche ton foutre Esclave, nettoie tout ce foutre. . » Je m'exécute en léchant consciencieusement mon sperme... J'imagine également que vous bandez de voir votre soumis dans cette situation. Suis je-autorisé à m'imaginer que je vous suce ? Que ma langue s'enroule autour de votre bite de maître ? Vous me posez cette question : « Tes divers orifices ont ils déjà constitué un réceptacle pour soulager quelques queues ou pour être limés par des accessoires ? » Oui quelques fois. Il y a longtemps, au Lycée, dans une cabine de douche après une séance de piscine, ma bouche à sucer la bite d'un élève qui imposait sa loi au plus jeunes que lui.. Dans cette cabine il aimait me masturber me faire juter comme il disait.. Et plus récemment avec un homme qui m'a chevauché dans un hôtel F1

J'ai pris note qu'on ne pourrait se voir qu'en septembre. Ce sera en Hôtel car je ne peux pas recevoir. Dommage que vous ne receviez pas non plus Pour ce qui est de ma femme je préfère qu'elle reste en dehors de ma soumission.

Vous m'avez autorisé 2 questions personnelles :

• Dans quelle ville ou village habitez-vous ?
• Quelle est votre profession ?

La crainte est toujours ancrée au plus profond de moi. Est ce normal ? Humblement Votre

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